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mardi 25 novembre 2008

Le fantôme de l'opéra

Dans le roman de Gaston Leroux, publié en 1910, il est question d'un mystérieux locataire des souterrains de l'opéra Garnier. Loin d'avoir inventé cette légende, l'auteur s'est inspiré des phénomènes étranges qui se sont succédés à la fin du XIXe siècle: l'effondrement d'un lustre pendant une représentation, un machiniste retrouvé pendu...
Les directeurs du Palais se sont vus par ailleurs réclamer 20 000 francs par mois par un certain "fantôme de l'opéra", qui exigeait aussi d'avoir l'usage exclusif de la loge n°5.
De plus, une jeune chanteuse nommée Christine Daaé aurait rencontré le personnage légendaire.
Alors, fiction ou réalité?
Tout d'abord, le fantôme de l'opéra a réellement existé. Néanmoins, il ne s'agissait pas d'Erik, du maestro de la cantatrice Christine Daaé. Tout à commencer en l'an de grâce 1873, après la mort de l'ex-empereur Napoléon III et l'élection du Maréchal Mac-Mahon comme président de la IIIe République Française (République qui ne sera reconnue officiellement qu’en 1875). A cette époque, la ville de Paris est en pleine reconstruction (à cause de la guerre contre les Prussiens). Depuis, 1860, on parlait de la construction d'un bel opéra. L'idée était venue de l'Empereur lui-même et la construction fut confiée à l'architecte Charles Garnier.
Le projet fut long à aboutir à cause de problème d'argent et de conflits divers.
Voici à présent, l'histoire connue et racontée des voisins, de parents à enfants,... jusqu'à mon oreille! :)
Au conservatoire de musique de la rue Le Peletier, étudiait un jeune homme promu à une grande et belle carrière de pianiste. Ce charmant jeune homme partageait une romance avec une belle ballerine du même conservatoire. Les deux jeunes artistes s'étaient fiancés et avaient programmé leur union pour la fin de l'année. Pour cette occasion le jeune virtuose avait commencé à composer une œuvre pour orgue en solo. Ce livret devait être son chef-d’œuvre et devait symboliser son amour. La musique aurait dû être jouée comme marche nuptiale par l’orgue de l’église lors de leur mariage.
Cependant, un drame anéanti tout ce bel avenir en l'espace de 24 heures.
Nous sommes le 28 octobre 1873: il y eu un terrible incendie meurtrié au conservatoire. Celui-ci fut entièrement détruit avec de nombreuses victimes, dont la fiancée du jeune homme. De son côté, il survécu au drame, mais fut marqué à vie par de graves blessures. Son corps et surtout son visage avaient été dévorés par les flammes.
Cet homme avait tou perdu, sa bien-aimée, son physique, son bonheur, sa vie d'avant...
Le pianiste avait été enregistré par les autorités comme décédé (entièrement incinéré par les déflagrations) à la suite de la catastrophe. Pour tout le monde il était mort se jour là aux côtés de sa fiancé. Il ne révéla jamais son identité est continua à vivre sous un pseudo, il se faisait appeler Ernest parait-il. Mais cet Ernest demeuré bien mystérieux pour les parisiens. Il les effrayait même plutôt qu’autre chose. Son apparence physique était immonde! Il était surnommé "le monstre" ou encore "le démon". Il quitta alors son appartement (qui se trouvait vers Foch) et s'installa dans les sous-sol de l'opéra de Paris. Ce lieu paisible lui ravivait le feu qui avait disparu en lui depuis le drame: sa passion de la musique.
C’est donc à l’intérieur de la maison Garnier que l’homme séjourna jusqu’à la fin de sa vie.Le reste da sa vie il le consacra à son art, et à conclure son œuvre inachevée. La musique de son amour perdu. Il la caractérisa d’hymne à l’amour et à la mort. Il la nomma par le surnom que l’on avait donné à sa jolie ballerine de fiancé : La Divine. Cette célèbre musique renommée « Don Juan Triomphant » dans le roman de Leroux.
L’homme ne fut jamais déranger jusqu’à ce que des témoignages et des rumeurs d’hommes vinrent bâtirent la légende d’un fantôme qui hanterait les sous-sols de l’opéra. Les premières rumeurs vinrent des personnels de l’opéra, tels les machinistes et les femmes du corps de ballet. (L’opéra avait officiellement été ouvert le 5 janvier 1875).
Voici donc, comment est né la légende du "fantôme de l'opéra".
Celui-ci serait mort dans la gallerie souterraine. Son corps n'a jamais été retrouvé (il a peut-être été confondu avec les cadavres des communards). Ses biens ont été eux aussi confondus avec les biens de l'opéra.
Et encore aujourd'hui, des gens refusent de louer la loge n°5, qui est pourtant idéalement placée.
Si vous souhaitez voir l'oeuvre cinématographique du roman de Leroux, je vous conseille vivement la version de 1990. Téléfilm de Tony Richardson (Téléfilm en deux épisodes de 1h30Pour la chaîne américaine NBC).
Avec Charles Dance (Erik – le fantôme), Teri Polo (Christine Daaé), Adam Storke (le comte de Chagny), Ian Richardson (Mr Cholet), Jean-Pierre Cassel (l’inspecteur Ledoux), Andréa Ferréol (la Carlotta)…

Résumé: Christine Daaé est une jeune chanteuse inexpérimentée qui est engagée à l’Opéra Garnier grâce à une recommandation du comte de Chagny. La Carlotta, la Diva et épouse du nouveau directeur, refuse de lui faire intégrer les chœurs et la relègue à la lingerie. Christine apprend que le bâtiment est « hanté » par un obscur personnage que l’on surnomme « le fantôme » et qui donne depuis des années toutes les directives pour gérer l’opéra, et assassine froidement quiconque ose s’opposer à sa volonté, ou quiconque voulant découvrir son identité. La nouvelle direction n’entend cependant pas les choses de cette oreille, et décide d’y mettre rapidement bon ordre. Mais le fantôme, insaisissable, reste une énigme et tous sont obligés de se plier… Le fantôme entre-temps, a découvert la jeune Christine et lui propose de devenir son professeur de chant. Pleine d’innocence et de pureté, la jeune femme, fascinée, accepte. L’énigmatique personnage ne tarde pas à tomber éperdument amoureux de Christine, qui lui voue, quant à elle, une admiration sans bornes. Du jour au lendemain, et grâce aux bons conseils de son « maestro » , Christine est choisie comme remplaçante de la Carlotta pour interpréter Margueritte dans Faust de Gounod. Pour Christine, c’est enfin l’occasion d’une reconnaissance, mais c’est sans compter la jalousie et les machinations de la Carlotta…

Ce film a le mérite d'avoir été tourné sur les lieux de l'intrigue!

Je l'ai vu à la télévision qu'une seule fois et malheureusement, sur la cassette VHS sur laquelle on l'avait enregistré à l'époque, il manque le début et la fin!!!

J'ai adoré cette version franco-américaine. Toutes les autres cassent le mythe et notamment le film sorti récemment. Vivement que ce téléfilm soit rediffusé...

5 commentaires:

Anonyme a dit…

kikou
olala, merci merci pour ce message, je ne connaissais pas la vraie histoire du fantôme!
Et les vidéos me donnent envie de voir ce téléfilm...merci bcp :-)

Dark Rose a dit…

Je connais parfaitement cette histoire. Puisque d'ailleur le texte que tu a publié, je l'ai moi-même écrit, pour le transmettre aux membres de Sorcellerie.net. Et comme je ne l'ai jamais publier ailleur d'autre, j'en déduie que tu es toi-même membre de site. Je trouve l'idée de l'avoir publier sur le net intéressante, j'estime que tout le monde mérite de connaitre cette légende. Moi elle me facine depuis ma plus tendre enfance, lorsque mon grand-père me la contée, qui l'avait lui-même entendu de son grand-père. Toute fois je suis un peu déçu que tu te soit permi de retouchés certains de mes mots. Puis je trouve très dommage que tu n'es pas publier la suite que j'avais écris, concernant la légende en elle-même puis les preuves que j'avais avancées et les ruses des "officiels" qui ont servi a faire perdre toute crédibilitée à cette histoire.
Amcialement,

PS: très joli blog.

Pour que la vérité soit connue de tous...

D.R




voici le texte à dans son état d'origine:


Introduction:

Le Fantôme de l'Opéra a réellement existé.
Je ne parle bien sûr pas d’Erik, le monstre, fou amoureux de la belle cantatrice Christine Daaé. Non je parle du vrai " Fantôme ", celui dont la légende a été brodée par l'imagination du personnel du théâtre Garnier puis du tout-Paris, cette même légende réinventée sous la plume du romancier Gaston Leroux, l'homme qui a rendu le fantôme célèbre à travers le monde entier.
Voici par delà les rumeurs, les déformations des paroles rapportées, les imaginations un peu trop fertiles, la véritable histoire du Fantôme de l'Opéra, celle qui est à l'origine de la légende.

Contexte historique:

Tout à commencer en l'an de grâce 1873, après la mort de l'ex-empereur Napoléon III et l'élection du Maréchal Mac-Mahon comme président de la IIIe République Française (République qui ne sera reconnue officiellement qu’en 1875). A cette époque la ville de Paris est en reconstruction, à la fois physiquement et moralement après les sombres heures qu'elle a connue entre la guerre ratée face au Prussiens, les communes de 1871 et les nombreux conflits politiques qui ont ravagés le pays et principalement sa capitale.
En ces temps là, les arts lyriques avaient encore comme demeure le petit opéra de la rue le Peletier, même si depuis 1860 on parlait de la construction d'un nouvel opéra. L'idée était venue de l'Empereur lui-même après une tentative d'assassinat contre lui à sa sortie d'une représentation à la salle Le Peletier. La construction de l’opéra fut confiée à l’architecte Charles Garnier. La première pierre fut posée en 1862.
Les travaux de Charles Garnier furent ralentis par les conflits et par les difficultés budgétaires causées par la crise économique. Le projet fut même interrompu.


L’histoire d’un virtuose: ( celle-ci n’est pas officielle, elle m’a été conté par mon grand père, elle se transmet de bouche à oreilles, donc il est possible que des choses aient été déformer ou rajouter avec le temps.)


Au conservatoire de musique de la rue Le Peletier, étudiait un jeune homme promu à une grande et belle carrière de pianiste/organiste en Europe et dans le Nouveau Monde. Ce charmant jeune homme vivait une jolie histoire d'amour avec une belle ballerine du même conservatoire. Les deux jeunes artistes s'étaient fiancés en été dernier et avaient programmé leur union pour la fin de l'année. Pour cette occasion le jeune virtuose avait commencé à composer une œuvre pour orgue en solo. Ce livret devait être son chef-d’œuvre, et devait symbolisé son amour.
La musique aurait dû être jouée comme marche nuptiale par l’orgue de l’église lors de leur mariage.

Un bel avenir s’annonçait à eux, mais un événement vint tout anéantir en seulement 24 heures. Cela se passa le 28 octobre 1873. Il y eu un incendie tragique et particulièrement meurtrier au vieil opéra de la rue Le Peletier. Le bâtiment fut entièrement détruit avec à l’intérieur de nombreuses victimes. Les deux amoureux se sont retrouvés comme beaucoup d’autre pris au piège par les flammes dans l’enceinte du théâtre. C’est lors de ce terrible accident que la jolie demoiselle trouva la mort. Le pianiste, eu lui plus de chance, - si de chance nous pouvons parler.
Il survécu à l’incendie mais il fut à tout jamais marquer dans son esprit comme dans sa chaire.
Son corps et son si beau visage furent profondément meurtris par les flammes.

L’homme se remit de ses blessures physiques, mais il ne se remit jamais de la perte de sa bien aimée. Il tomba dans une profonde dépression, se laissant aller, il perdit beaucoup de poids, et son corps mourait peu à peu en même temps que sa joie de vivre. Il continua néanmoins à vivre, ou à survivre plus. Il s’était loué un petit appartement dans la rue Foch sous un pseudonyme (chose que nous ne pourrions bien évidement plus faire à notre époque). Il n’avait pratiquement plus adressé la parole à personne depuis ce sombre jour, il se faisait discret, mais aussi parce que les gens l’éviter, pire que ça, il le regarder de travers, le critiquer même un peu parfois.
Son visage défigurait était effroyable, rien à voir avec ce qu’il fut jadis avant l’accident de l’opéra. Il ressemblé plus a un mutant ou une a une créature démoniaque qu’à un humain. Il était tout à fait méconnaissable, il était devenu d’ailleurs un parfait étranger aux yeux des autres. Le pianiste avait été enregistré par les autorités comme décédé (entièrement incinérer par les déflagrations) à la suite de la catastrophe. Pour tout le monde il était mort se jour là aux côtés de sa fiancé. C’est peut être ce qu’il aurait préféré d’ailleurs ? Une plaque fut adressée à leurs mémoires dans un vieux cimetière de Paris (cette plaque à sûrement dû être enlevée depuis le temps).

Les gens le croyaient mort mais il était bel et bien encore en vie. Il ne révéla jamais son identité est continua à vivre sous un pseudo, il se faisait appeler Ernest parait-il. Mais cet Ernest demeuré bien mystérieux pour les parisiens. Il les effrayait même plutôt qu’autre chose.

Cette histoire se serait-elle déroulait quelques siècles plus tôt qu’on l’aurait fait brûlé vif sur un bûché pour comme un serviteur du seigneur d’En bas. (Entre nous le pauvre homme avait vu bien assez de flamme comme ça!) C’était donc, un homme dont on ignorait tout. Et ce mystère ne faisait qu’aggraver les mauvais regards à son dépend. Les critiques se changèrent en de véritables insultes et elles devinrent de plus en plus blessantes. On le nommait de monstre, de créature maléfique, de démon, ou même d’enfant du diable (vous voyez quand je vous disais qu‘il aurait été brûlé vif j‘avais pas tort, malgré les siècles l‘état d‘esprit du peuple français n‘avait peut évoluer). Les critiques se faisaient tellement blessante que l’homme décida de couvrir son visage d’un masque. Pour atténuer les remarques et la souffrance que cela lui causé sans doute ? Mais cela ne changea rien, bien au contraire. (Demandez donc à vos grands-parents, peut être on t-ils déjà entendus leurs propres parents ou grands-parents parlaient de cet être qui se montrer de temps en temps dans Paris, principalement la nuit, vêtu d’une grande redingote noire, accompagnée d’une somptueuse cape noire, d’un masque de porcelaine puis recouvert d’un chapeau haute forme noir).
Il sortait de temps en temps obliger par ses besoins vitaux. Mais il se montra de moins en moins au grand jour, tellement qu’on fini par se dire qu’il avait disparu pour de bon, que le diable l’avait certainement rappelait à Lui. En vérité il n’habitait plus son appartement rue Foch, il s’était trouvé une demeure bien plus grande.

Il décida de s’exiler du reste du monde, et de finir ses jours seul, dans le calme le plus complet afin de pouvoir pleurer son amour perdu sans retenu. Il s’installer tel un parasite dans les sous-sols du nouvel opéra. L’opéra Garnier, dont la construction avait reprit après la destruction de la salle Le Peletier. Dans les sous-sols de l’opéra, qui furent le théâtre de phénomènes atroces lors de la commune de Paris quelques années plus tôt, il était sûr de pouvoir vivre tranquillement loin des regards cruels des gens du haut. Puis quoi de mieux comme résidence que la maison de l’art lyrique, l’orgie de lumière et de son, la plus belle maison de musique de France, voir même du monde, surtout pour un pianiste ? C’est peut être également pour cette raison qui s’est enterré dans les 5e dessous de l’opéra de Paris, afin de vivre chacun de ses derniers jours aux côtés de celle qui fut son premier grand amour et qui est elle, immortelle La Musique.
Cette même musique qu’il n’avait plus jouée depuis la mort de sa bien aimée.

C’est donc à l’intérieur de la maison Garnier que l’homme séjourna jusqu’à la fin de sa vie.
Le reste da sa vie il le consacra à son art, et à conclure son œuvre inachevée. La musique de son amour perdu. Il la caractérisa d’hymne à l’amour et à la mort. Il la nomma par le surnom que l’on avait donné à sa jolie ballerine de fiancé : La Divine. Cette célèbre musique renommée « Don Juan Triomphant » dans le roman de Leroux.

L’homme ne fut jamais déranger jusqu’à ce que des témoignages et des rumeurs d’hommes vinrent bâtirent la légende d’un fantôme qui hanterait les sous-sols de l’opéra. Les premières rumeurs vinrent des personnels de l’opéra, tels les machinistes et les femmes du corps de ballet. (L’opéra avait officiellement été ouvert le 5 janvier 1875).
Bien sûr avec l’imagination fertile des petits « rats » (noms des jeunes danseuses du conservatoire pensionnaires à l’opéra) et la soif des machinistes de créer des histoires qui feront peurs aux demoiselles, la légende du fantôme prit des tournures de plus en plus loufoques. Cette même légende qui des années plus tard nourrira l’esprit du romancier Gaston Leroux qui publiera en 1910 une histoire tragique nommée « Le Fantôme de l’opéra ».
Voici donc la véritable histoire de l’homme habitant dans les sous-sols de l’opéra, « le fantôme de l’opéra » et comment la légende s’est créée a partir d’un fait réel et s’est transformée au fil des années et des imaginations en la légende que nous connaissons tous aujourd’hui grâce au célèbre roman.

Pour ce qui est advenu du « fantôme », il serait mort dans les profondeurs du théâtre. Son corps n’a jamais été retrouvé, ou bien alors on a sûrement du le confondu aux autres cadavres des communards retrouvés plusieurs années plus tard.
Quant à la partition de son chef-d’œuvre elle n’a également jamais était retrouvée dans les sous-sols, pour la simple et bonne raison qu’elle n’y était plus. L’homme l’aurait enterrée au même endroit où repose le corps de son amour perdu. Le reste de ses biens ont été confondus avec le temps avec ceux de l’opéra.

L’homme est mort mais son esprit et son amour infini pour sa belle habitent toujours l’édifice Garnier. Et la légende raconte qu’une personne ayant elle aussi connu la souffrance d’un amour perdu, ayant une fois incommensurable pour le « fantôme » et ayant l’âme suffisamment pure pourrait avoir la chance d’entendre les airs inimitables et inqualifiables de sa musique résonnaient dans sa tête lors de son entrée dans la salle de représentation à l’italien de l’opéra.

Bien sur cette partie de la légende qui relève du paranormal peu laissé plus d’une personne septique. Mais si sur cette question on peut discuter en revanche on ne peut pas nier le fait qu’aujourd’hui encore les gens n’osent pas louer la loge numéro 5 qui est pourtant idéalement placée. Cette même loge que parait-il le fantôme réserver à disposition malgré les directeurs. Cette superstition est du principalement au roman. Mais cela voudrais dire que les gens auraient quelques doute sur le fait que ça ne soit qu’un roman? Tiens curieux…Et l’énigmatique incendie ravageur, puis ce grand lustre de plus de 5 tonnes qui se serait mystérieusement décrocher du plafond pour s’écraser sur le public en pleine représentation ? Bien sur les rapports de polices et toutes les déclarations officielles disent que les chaînes qui le maintenaient on cédées. C’est sur que c’est plus crédible que de dire que c’est l’œuvre d’un fantôme que personne n’a jamais vu en face ! Jim Garisson, sait lui, Ö combien les autorités sont douées pour l’art de la duplicité.
Puis évidemment lorsque vous interrogez le personnel de l’opéra sur le fantôme ils se mettent à rire pour faire paraître comme cette histoire absurde, et ils se réfèrent à la version de Leroux en disant : « Voyons ceci n’est qu’un livre, une pure fiction ! ». Du moins c’est ainsi que répondent les plus hauts gradés ou les plus courageux et impies face au fantôme. Pour ce qui est des plus lâches ils cherchent par tout les moyens à changer de sujet comme si celui-ci été tabou, ou si ils craignaient une sorte de malédiction. Tiens, tiens, voilà encore quelque chose d’extrêmement curieux! Comme dirais l’autre: « On ne nous dit pas tout! ».
Le fantôme à vraiment existé mais les peu de preuves, témoins ou faits qui pourraient le démontrer sont soit disparus, soit morts ou ont été falsifiés afin de garder une crédibilité.

Entre les rumeurs inventées de toutes pièces et les faits démentis et cachés, il est difficile de pêcher le vrai du faux et d’ensuite savoir la vraie histoire à 100% du fantôme.
Mais en tout cas en ce qui me concerne je suis persuader que le fantôme ait réellement existé, en tout cas je veux y croire.


A vous de vous faire votre propre opinion. Mais si je peux quand même vous donner un conseil, si il vous arrive de visiter l’opéra Garnier à Paris, quelque soit votre opinion sur le fantôme, abstenez-vous de faire la moindre remarque déplacer concernant le véritable maître des lieux, qu’il soit réel ou que pure fiction, on ne sait jamais…

Jess a dit…

Salut Dark Rose.
merci pour ton message. Moi aussi je veux croire en son existence...

Par ailleurs, je suis désolée si ce texte t'appartient, je ne fais pas partie du site que tu as mentionné, c'est une amie qui connaît mon penchant pour les légendes qui me l'a envoyé. Je recherche sur le net, sur des livres et bien sûre de bouche à oreille. C'est vrai que je ne vérifie pas toujours mes sources, mais je n'aurai jamais publier un texte sans l'accord de l'auteur.

Néanmoins, merci pour tes infos. Et je suis d'accord, il faut transmettre ces connaissances et c'est pour cela que je tiens ce blog.

Amicalement

Anonyme a dit…

Merci pour la legende que je vais raconter à mes eleves puisque nous voyons l histoire de l opera. tres belle musique

Aisa Issabekova a dit…

J'aime tant cette histoire , je l'ai découverte il y a pas longtemps et elle me passionne BEAUCOUP! Merci pour ton article qui m'a bien informé . Bisous