mardi 30 décembre 2008
Légendes de la veillée de NOËL
vendredi 26 décembre 2008
La bergère et le ramoneur
vendredi 19 décembre 2008
La lumière bleue
mardi 16 décembre 2008
Le vaillant petit tailleur
samedi 13 décembre 2008
La légende du Barde Cervorix
Non loin de la Saône, dans la pays des Aulerques-Brannovie, dans un bois consacré à Bélénos, un soir, le Barde Cervorix, assis sur un rocher solitaire (car il était entouré d'eau), instruisait ses disciples qui, tête nue, écoutaient ses paroles.
Tout était calme autour du Barde : l'eau, la terre, la forêt, ainsi que la voûte éclatante du ciel parsemée d'étoiles. Les disciples écoutaient les accents du poète, qui leur détaillait les merveilles du firmament, en leur faisant admirer la marche régulière et continue des astres, qui roulent dans l'espace infini.
Tout à coup l'horizon s'obscurcit, des nuages épais étendent leurs voiles sur lui, un vent impétueux se met à souffler et à secouer les arbres, tandis que voltigent, autour de la tête du Barde des oiseaux de nuit. Un orage sinistre semble s'avancer, car les chiens hurlent sur la montagne. Alors Cervorix s'écrie avec dédain :
Ayant ainsi parlé, il brisa sa lyre et des hauts du rocher sur lequel il se trouvait, il se précipita dans les flots. C'est pour perpétuer sa mémoire, que les Druides nomment cette chute d'eau le Saut de Cervorix devenu le Saut de la Cervèze par corruption du célèbre Barde.
Le lendemain de ce triste jour un immense bûcher orné de fleurs et couvert d'aromates fut dressé près d'un dolmen et à l'heure de minuit, au moment où les sept étoiles de la Grande Ourse se reflétaient sur la surface de l'eau que contenaient sept troux de la table de l'autel Druidique, deux ministres d'Esus levant les mains au ciel, mirent le feu au bûcher, après avoir adressé au Dieu une sincère prière.
Les Druides, la Druidesse, une jeune vierge et un Barde firent le tour du bûcher ; l'un des Druides jeta une coupe d'ambre, l'autre une lyre d'ivoire, la Druidesse son voile, la jeune fille une mèche de ses blonds cheveux, enfin le Barde, sa saie blanche comme le lys de la vallée.
"Pleurez cette mort, dirent au peuple les Druides, on l'a accordée à votre amour ; mais chantez à jamais le trait de courage et de dévouement du Barde Cervorix !"
Après la cérémonie de l'incinération, les cendres du Barde furent mises dans une urne en verre de couleur, sur laquelle avait été emaillée cette inscription :
"Mortel ! Apprends d'où tu viens, où tu vas, regarde cette poussière. Elle fut ce que tu es, tu seras ce qu'elle est."
Telle est l'origine du monde de la chute d'eau de la vallée de la Grosne.
vendredi 12 décembre 2008
La princesse au petit pois
C'était une princesse qui était là, dehors. Mais grands dieux ! de quoi avait-elle l'air dans cette pluie, par ce temps ! L'eau coulait de ses cheveux et de ses vêtements, entrait par la pointe de ses chaussures et ressortait par le talon ... et elle prétendait être une véritable princesse !
Au matin, on lui demanda comment elle avait dormi.
jeudi 11 décembre 2008
Le triangle des Bermudes
Parmi les nombreuses disparitions d'avions recensées dans le triangle des Bermudes, certaines sont relativement troublantes.
En janvier 1948, Star Tiger, un Tudor IV de la B.S.A.A.C. disparaît sans laisser de trace dans le triangle. L’enquête relève le caractère étrange de cette disparition. Plus surprenant encore, 1 an plus tard, Star Ariel, un autre Tudor IV de la B.S.A.A.C. disparaît dans le même secteur. Les enquêteurs restent perplexes.
En décembre 1948, un DC-3 de la compagnie Airborn Transport disparaît dans la nuit alors qu’il approchait de Miami. Aucune trace des 32 passagers et membres d’équipage et aucune épave n’a été retrouvée.
L’accident le plus tragique dans le triangle des Bermudes survint le 30 octobre 1954 : un Super Constallation de l'US Navy se volatilise avec ses 52 occupants. Aucune trace retrouvée.
En Août 1963, deux énormes KC-5 Stratotenker qui volaient en formation se percutent au dessus du triangle des Bermudes. Cet accident pourrait être banal, sauf que dans ce cas, le temps était clair et les appareils volaient relativement espacés.
Le 22 Février 1978, un Grumman KA-6 de l'armée américaine disparaît d’un coup alors qu’il s’apprêtait à atterrir sur un porte avion.
Beaucoup de navires ont également disparut de manière étrange dans le secteur du triangle des Bermudes. Quelques un de ces naufrages sont restés célèbres par leur caractère mystérieux. C’est le cas de l’USS Cyclope, en mars 1918, disparut corps et âmes avec ses 306 passagers et membres d’équipage. Plus récemment, en 1980, un navire de 160 mètres sombra sans laisser de trace : l’enquête ne trouva aucune explication, mais en 2006, on évoqua la possibilité d’une mission secrète qui aurait mal tournée. La disparition la plus mystérieuse dans le triangle des Bermudes reste celle du SS Marine Sulphur Queen en 1963.
mardi 9 décembre 2008
La petite fille aux allumettes
lundi 8 décembre 2008
Apollon
Il est représenté sous les traits d'un beau jeune homme qui joue de la lyre, appelé Phoïbos ("le Brillant"), l'archer divin.
Protecteur des troupeaux, il échange ses boeufs avec Hermès contre la lyre et la flûte.
Très beau, il connaît de nombreuses amours avec des nymphes (Daphné qui sera transformée en laurier, en Grec "daphné"), des mortelles Coronis qui sera la mère d'Asclépios, dieu de la médecine, et Cassandre à qui il apprendra l'art de la divination) et des jeunes gens (Hyacinthos qui sera métamorphosé en jacinthe et Cyparissos en cyprès). Il est honoré dans tout le monde grec, particulièrement à Delphes, à Délos, et en Ionie à Didymes.
La légende de Sunset Beach
http://lemondedecrystal.blogspot.com/2008/09/sunset-beach.html
samedi 6 décembre 2008
Des légendes de l'Ambre
2) Si la mer est incontestablement la plus ancienne source d'ambre connue, ce que rappellent les Phéniciens pour lesquels " Jain-intar ", signifie littéralement : résine de mer, force est de constater que la croyance pour les anciens baltes attribue l'origine de l'ambre aux larmes de la jolie déesse Juraté. Pour les anciens baltes, la très jolie déesse des sirènes Juraté, fiancée au dieu des Eaux, Patrimpas, habitait un palais d'ambre au fond de la mer. Séduite par la beauté et le courage de Kastytis, humble pêcheur qui lançait ses filets aux frontières de son royaume, la déesse des sirènes s'oublia, l'enleva et l'emmena dans son palais. De colère, Perkunas le maître des Dieux, lança sa foudre qui détruisit le palais tuant ainsi le modeste pêcheur. Juraté fut condamnée à être enchaînée aux ruines de son palais, pour être battue par les vagues. Elle pleura alors des larmes d'ambre limpides que la mer rejette encore sur la côte, mêlées aux algues, dans lesquelles on découvre des ambres translucides, les pierres de son palais.
vendredi 5 décembre 2008
Les papillons
dimanche 30 novembre 2008
Le chat botté
mardi 25 novembre 2008
Le fantôme de l'opéra
Résumé: Christine Daaé est une jeune chanteuse inexpérimentée qui est engagée à l’Opéra Garnier grâce à une recommandation du comte de Chagny. La Carlotta, la Diva et épouse du nouveau directeur, refuse de lui faire intégrer les chœurs et la relègue à la lingerie. Christine apprend que le bâtiment est « hanté » par un obscur personnage que l’on surnomme « le fantôme » et qui donne depuis des années toutes les directives pour gérer l’opéra, et assassine froidement quiconque ose s’opposer à sa volonté, ou quiconque voulant découvrir son identité. La nouvelle direction n’entend cependant pas les choses de cette oreille, et décide d’y mettre rapidement bon ordre. Mais le fantôme, insaisissable, reste une énigme et tous sont obligés de se plier… Le fantôme entre-temps, a découvert la jeune Christine et lui propose de devenir son professeur de chant. Pleine d’innocence et de pureté, la jeune femme, fascinée, accepte. L’énigmatique personnage ne tarde pas à tomber éperdument amoureux de Christine, qui lui voue, quant à elle, une admiration sans bornes. Du jour au lendemain, et grâce aux bons conseils de son « maestro » , Christine est choisie comme remplaçante de la Carlotta pour interpréter Margueritte dans Faust de Gounod. Pour Christine, c’est enfin l’occasion d’une reconnaissance, mais c’est sans compter la jalousie et les machinations de la Carlotta…
Ce film a le mérite d'avoir été tourné sur les lieux de l'intrigue!
Je l'ai vu à la télévision qu'une seule fois et malheureusement, sur la cassette VHS sur laquelle on l'avait enregistré à l'époque, il manque le début et la fin!!!
J'ai adoré cette version franco-américaine. Toutes les autres cassent le mythe et notamment le film sorti récemment. Vivement que ce téléfilm soit rediffusé...